Le conflit entre la Russie et l’Ukraine reste le sujet principal. Impossible à donner quelconque avis sérieux car la situation est entre les mains d’une seule personne dont les intentions peu claires. Le retrait partiel des troupes annoncé il y a 2 jours s’avère d’être une nouvelle mensonge et 7000 soldats en plus ont été envoyés à la frontière. Actuellement la majeur partie de l’armée russe est concentrée dans un seul endroit. Les médias propagandistes contrôlés par le Kremlin ont fait part d’une information comme quoi les rebelles dans les régions l’Est de l’Ukraine se sont fait attaqué par les forces militaires ukrainiennes. Peut-être il s’agit d’un prétexte pour l’invasion. Donc la situation reste très instable et seule Lockheed Martin, donc nous avons investi dans le cadre du projet Rentier, profite de cette situation. Les valeurs pétrolière bien évidemment aussi, mais cela risque d’être très volatile et les projets du TotalEnergies et des autres pétrolières risque d’être questionnés en cas du conflit militaire.
Géopolitique: pas de retrait des troupes de la frontière avec l’Ukraine
BLOOMBERG: L’administration Biden a rejeté les affirmations de la Russie concernant un retrait des troupes de la frontière ukrainienne et a déclaré que la Russie avait ajouté jusqu’à 7 000 militaires dans la région. Les hauts responsables de l’administration n’ont fourni aucune preuve pour étayer leur affirmation ou dire sur quoi elle était fondée. Plus tôt mercredi, le président Joe Biden et le chancelier allemand Olaf Scholz ont convenu lors d’un appel téléphonique que le renforcement de l’armée russe “poursuivait”.
FED veut « maintenir la flexibilité »
BLOOMBERG : Les responsables de la Réserve fédérale ont conclu en janvier qu’ils commenceraient bientôt à relever les taux d’intérêt et étaient en alerte face à une inflation persistante qui justifierait un rythme de resserrement plus rapide. Alors que le procès-verbal publié mercredi soulignait l’importance de “maintenir la flexibilité”, le dossier contenait peu de nouveaux détails sur l’ampleur de la hausse des taux anticipée en mars, ni sur les projets de la Fed de réduire ses avoirs obligataires. Le ruissellement du bilan devrait commencer plus tard cette année.
Saxo Bank : Le compte-rendu de la dernière réunion du FOMC était attendu. Il a confirmé que la banque centrale américaine se tient prête à agir vite pour tenter de lutter contre l’inflation. Ce n’est pas une surprise. Le programme d’achat net d’actifs devrait prendre fin dans un bref délai, comme prévu, tandis que la fourchette cible de taux pourrait être relevée plus rapidement qu’en 2015. En outre, plusieurs participants ont indiqué que les conditions actuelles sur le plan macroéconomique justifient une réduction du bilan dès cette année. Cela confirme nos attentes. La banque centrale devrait augmenter son taux directeur de 50 points de base dès le mois prochain et une réduction du bilan devrait avoir lieu dès le deuxième semestre de cette année. Si l’inflation atteint 8% (ce qui est probable selon nous à court terme), le rythme d’appréciation des taux devrait fortement s’accélérer.
Statistiques Économiques
Saxo Bank : Il y avait beaucoup de statistiques hier. En zone euro, la production industrielle a rebondi en décembre, à 1,2% en mensuel (contre un consensus à 0,3%). En variation annuelle, la hausse atteint 1,6%. C’est une très bonne performance. Les ventes de détail aux Etats-Unis ont rebondi aussi, après un mois de décembre décevant. En janvier, elles ont augmenté de 3,3% sur un mois (contre un consensus à seulement 0,8%). C’est le signe que le consommateur américain est encore en très bonne santé, en dépit des incontestables tensions inflationnistes. Enfin, l’inflation est un problème au Canada, comme dans la plupart des pays développés. L’indice des prix à la consommation a atteint 5,1% sur un an en janvier (contre 4,8% en décembre). En excluant les composants les plus volatils, elle reste à un niveau inconfortablement élevé (4,3%). Sur ce terrain, la situation au Canada est assez similaire avec celle des Etats-Unis. Une hausse des taux par la Banque du Canada est acquise en mars prochain, selon nous.
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